Les circonstances ont fait que je n’ai pu retourner voir Mme Gloria avec mon ancienne logeuse que fin mars, car j’ai été malade, puis elle n’était pas disponible… J’ai donc enfin ma résolution en main, et Mme Gloria l’a envoyé immédiatement au Consulat en me recommandant de la tenir au courant. Le hasard a fait que ce jour-là j’ai re-croisé Loren dans les couloirs. Elle est revenue des Etats-Unis et réintègre son bureau au Service de « Cedulación en el Exterior » début avril. Elle se souvient parfaitement de mon cas et était très étonnée d’apprendre la suite des aventures. Surtout, elle me conseille de la tenir au courant et de venir la voir quand toutes les démarches du Registro Civil seront terminées, pour pouvoir faire un processus express de cédula et ne pas avoir à attendre 2 ans. 2 alliées à la Registraduría :-)
Par ailleurs, mon amie Cata continue à explorer son carnet d’adresses pour me recommander à des gens pouvant m’aider. Prochainement je rencontrerai une Magistrat de la Registraduría qui essaiera de voir si on ne peux pas faire un recours administratif à un moment ou à un autre. Cette procédure obligerait la Registraduría à me délivrer ma cédula dans un délai de… 48h ! Le problème est que je ne peux le faire que dans le cas où l’administration est hors-délai, et je dois réagir très vite. Comme je ne suis pas juriste et qu’il m’est pratiquement impossible de détecter ce genre d’opportunités, je cherche également à prendre enfin un avocat, sans doute l’un des amis de Cata. Plusieurs personnes me disent que je devrais également rendre mon histoire publique, dans les médias, pour ne pas laisser passer ce genre d’inepties administratives à défaut de réussir à faire condamner les fonctionnaires incompétents qui ont jalonné ce parcours. Depuis, j’ai pu m’inscrire à l’assurance médicale obligatoire avec ma contremarque sans plus de problème. J’ai également pu louer un appartement (signature du bail devant Notaire), et éviter d’avoir trop de contrats à mon nom grâce au fait qu’en Colombie les factures restent au nom du propriétaire. Toutes choses qui ont confirmé la possibilité de passer entre les mailles du filet d’ici à ce que ma situation se résolve, au moins tant que j’ai ma contremarque signée. Au travail, les circonstances font que mon contrat sera sûrement prolongé quelques mois, ce qui recule d’autant le moment où je devrais chercher à nouveau du boulot (et donc courir le risque qu’ils n’acceptent pas ma nouvelle contremarque non signée).
Mon billet de retour en France est pour l’instant fixé au 9 juin. Au pire je peux encore le déplacer jusqu’au 14 août (billet valable 1 an). Mais si ma situation ne se résout pas d’ici là, je n’aurai pas de passeport colombien. Soit je déciderai d’utiliser mon billet d’avion quand même, et je devrai payer une belle amende du DAS pour visa expiré (effraction que le DAS garde en mémoire, donc pas terrible pour l’avenir…). Soit je resterai en Colombie en perdant mon billet de retour, jusqu’à avoir un passeport colombien et ainsi prouver qu’ayant la double nationalité je peux séjourner autant que je veux dans chaque pays. Conclusion : famille et amis en France, vous êtes les bienvenus ici car que je ne sais absolument pas si et quand je pourrai rentrer vous voir ;-)
Par ailleurs, mon amie Cata continue à explorer son carnet d’adresses pour me recommander à des gens pouvant m’aider. Prochainement je rencontrerai une Magistrat de la Registraduría qui essaiera de voir si on ne peux pas faire un recours administratif à un moment ou à un autre. Cette procédure obligerait la Registraduría à me délivrer ma cédula dans un délai de… 48h ! Le problème est que je ne peux le faire que dans le cas où l’administration est hors-délai, et je dois réagir très vite. Comme je ne suis pas juriste et qu’il m’est pratiquement impossible de détecter ce genre d’opportunités, je cherche également à prendre enfin un avocat, sans doute l’un des amis de Cata. Plusieurs personnes me disent que je devrais également rendre mon histoire publique, dans les médias, pour ne pas laisser passer ce genre d’inepties administratives à défaut de réussir à faire condamner les fonctionnaires incompétents qui ont jalonné ce parcours. Depuis, j’ai pu m’inscrire à l’assurance médicale obligatoire avec ma contremarque sans plus de problème. J’ai également pu louer un appartement (signature du bail devant Notaire), et éviter d’avoir trop de contrats à mon nom grâce au fait qu’en Colombie les factures restent au nom du propriétaire. Toutes choses qui ont confirmé la possibilité de passer entre les mailles du filet d’ici à ce que ma situation se résolve, au moins tant que j’ai ma contremarque signée. Au travail, les circonstances font que mon contrat sera sûrement prolongé quelques mois, ce qui recule d’autant le moment où je devrais chercher à nouveau du boulot (et donc courir le risque qu’ils n’acceptent pas ma nouvelle contremarque non signée).
Mon billet de retour en France est pour l’instant fixé au 9 juin. Au pire je peux encore le déplacer jusqu’au 14 août (billet valable 1 an). Mais si ma situation ne se résout pas d’ici là, je n’aurai pas de passeport colombien. Soit je déciderai d’utiliser mon billet d’avion quand même, et je devrai payer une belle amende du DAS pour visa expiré (effraction que le DAS garde en mémoire, donc pas terrible pour l’avenir…). Soit je resterai en Colombie en perdant mon billet de retour, jusqu’à avoir un passeport colombien et ainsi prouver qu’ayant la double nationalité je peux séjourner autant que je veux dans chaque pays. Conclusion : famille et amis en France, vous êtes les bienvenus ici car que je ne sais absolument pas si et quand je pourrai rentrer vous voir ;-)
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